Sans attendre la mise en place d’un cadre réglementaire et de mesures de soutien de marché, permettant d’élargir l’autoconsommation de l’électricité solaire dans le bâtiment, les professionnels mettent en oeuvre des mécanismes trop souvent méconnus, tel que l’autoconsommation avec réinjection du surplus.
Celui-ci permet d’introduire la notion d’autoproduction de sa propre électricité en étant assuré de valoriser, quelque soit l’usage du bâtiment et le taux d’autoconsommation, la part non consommée sur site. En somme, la production électrique consommée sur place par les appareils en cours de fonctionnement (l’autoconsommation) n’est pas comptabilisée par le compteur de production, mais vient réduire le décompte de la consommation. Seul le surplus de la production par rapport aux consommations instantanées est vendu.
Baisse du prix de raccordement au réseau public
Facilité de « dimensionnement » de l’installation
Économies sur la facture d’électricité sur la durée de vie de la centrale électrique
Consommation directe d’une électricité verte
Sensibilisation des utilisateurs à la sobriété énergétique du bâtiment
Ce mécanisme est particulièrement bien adapté pour les bâtiments tertiaires, industriels et commerciaux et constitue un vecteur essentiel de la transition énergétique dans le bâtiment.
SOLARDIS accompagne de nombreuses initiatives de maîtres d’ouvrage privés dans leurs démarches, comme par exemple la société de travaux SNPR à St Jacques de la Lande (35), pour qui cette solution s’est révélée la plus adaptée à ses besoins.