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Un marché du travail en pleine transformation, avec des zones d’ombre

Né dans les années 80 avec l’ambition d’aider les cadres seniors à réintégrer plus vite le monde du travail, le portage salarial touche aujourd’hui des profils très variés traduisant une évolution majeure dans l’emploi en France : gagner en autonomie, à la manière d’un entrepreneur, tout en gardant la sécurité d’un contrat salarial. Ce mode de travail hybride séduit de plus en plus de consultants et freelances désireux ainsi de conjuguer liberté professionnelle et protection sociale (chômage, retraite, mutuelle) pour un meilleur équilibre vie professionnelle/personnelle.

« La crise sanitaire a transformé ce marché, explique Jean-Philippe Daulaud, fondateur de MISTER PORTAGE. Avant la crise, moins de 100000 salariés étaient concernés par ce regime. Désormais, certaines projections évoquent jusqu’à 600 000 professionnels en 2025. Mais face à la multiplication des sociétés de portage, le manque de transparence sur les frais de gestion inquiète. Nombre d’acteurs dissimulent des frais cachés, impactant directement le salaire net restitué au consultant. L’écart annuel de rémunération peut dépasser 10 000 € pour un même taux journalier moyen (TJM) selon la société choisie. MISTER PORTAGE remet de la transparence et de la confiance sur ce marché, pour permettre aux indépendants de prendre la meilleure décision ».

De la transparence pour lutter contre les inégalités

MISTER PORTAGE poursuit également un autre objectif : booster concrètement le revenu net des consultants dès leur entrée en mission. Le comparateur va plus loin en négociant des offres exclusives avec les sociétés partenaires, incluant des remises immédiates sur les frais de gestion dès le premier mois.

« La problématique de la rémunération persiste en France avec des salaires qui augmentent difficilement en parallèle de la hausse du coût de la vie. MISTER PORTAGE a vocation à donner un coup de pouce financier aux indépendants en mission. Plus largement, sur les salaires, nous souhaitons remettre de l’équité sur un marché en plein essor, qui pèse désormais 2 milliards de CA. La transparence sur les salaires est une façon d’atteindre l’égalité professionnelle pour briser des plafonds de verre, corriger des écarts salariaux et lutter contre le sexisme en entreprise », conclut Jean-Philippe Daulaud.