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Actualité des entreprises

Les onduleurs Eaton ont 60 ans : entre grandes avancées et défis à venir

Publication: Juin 2022

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Eaton, le spécialiste de la gestion énergétique avec plus de 200 innovations brevetées liées à l’alimentation de secours et à la technologie de conversion de l’énergie, célèbre cette année les 60 ans de ses onduleurs, fabriqués dans son usine finlandaise depuis 1962...
 

Au fil des ans, le rendement des onduleurs s’est nettement amélioré avec des pertes thermiques réduites à 3 % aujourd’hui et l’utilisation de modèles plus compacts, sans transformateur, qui nécessitent moins de matière première. Les derniers modèles d’onduleurs bénéficient d’une commutation plus rapide, d’une électronique de puissance améliorée et d’un refroidissement plus efficace : autant de considérations importantes face à la hausse des coûts de l’énergie et à la volonté de décarbonation.

Mais si les onduleurs protègent de la surtension de nombreuses installations au quotidien ; son rôle ne se limite pas à cela. Aujourd’hui, ces appareils peuvent également jouer un rôle décisif dans la transition énergétique en protégeant le réseau électrique dans son ensemble.

C’est le cas de la dernière génération d’onduleurs, avec le système EnergyAware d’Eaton, qui interagit avec le réseau. Celui-ci peut gérer des flux d’énergie bidirectionnels plutôt qu’unidirectionnels : au lieu de se contenter d’absorber de l’énergie, il est également capable de réinjecter l’énergie excédentaire dans le réseau, sans compromettre son fonctionnement.

François Debray, Chef Produit Marketing Onduleurs & Solutions associées chez Eaton en France commente : « Les développements futurs porteront moins sur l’amélioration de l’efficacité de l’onduleur lui-même que sur la manière dont il peut contrôler, stocker et exploiter différentes sources d’énergie dans l’intérêt du développement durable. Par exemple, si l’électricité stockée dans l’onduleur d’un datacenter provient à 100 % d’énergies renouvelables, des pertes de puissance de 3 % ne créent pas d’émissions supplémentaires et ont un impact moindre sur le développement durable. »

Les onduleurs doivent aussi relever certains défis. En effet, l’approche « cradle to gate » met l’accent sur l’empreinte carbone d’un produit, du début de la production jusqu’au moment de sa vente. Les clients souhaitent savoir quelles ressources et combien d’entre elles entrent dans la fabrication d’un onduleur, y compris le type et la quantité d’énergie consommée pendant la production. Aussi, comme les onduleurs approchent les limites de ce qui est possible en termes de gains d’efficacité, l’attention se porte désormais sur d’autres aspects tels que la source d’énergie des générateurs de secours, qui est encore souvent du carburant diesel ou du gaz, ce qui n’est pas idéal.

« Concernant le débat sur les services que les onduleurs peuvent rendre au réseau électrique, il est important de ne pas perdre de vue leur objectif premier, à savoir fournir une alimentation propre et ininterrompue aux équipements critiques. L’onduleur du futur est capable de faire bien plus que cela, en agissant comme un élément essentiel de la transition vers le net zéro. » complète François Debray.

https://www.eaton.com/

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