Défense Conseil International (DCI), l’opérateur du ministère des Armées pour le transfert du savoir-faire militaire français à l’international, inaugure le bâtiment d’hébergement rénové, au sein de son Centre International de Formation Académique et Aéronautique (CIF-AA). Inscrite dans le partenariat de long terme avec l’Ecole de l’Air sur la base aérienne 701, cette nouvelle capacité d’accueil va permettre d’accroitre sensiblement le nombre d’élèves-officiers étrangers en formation au CIF-AA à Salon-de- Provence.
Afin d’augmenter la capacité d’hébergement du site de Salon-de- Provence tout en l’adaptant aux attentes des élèves étrangers, DCI a intégralement rénové un bâtiment d’hébergement mis à sa disposition sous autorisation d’occupation temporaire (AOT), ses installations et équipements associés. 122 chambres individuelles aux standards les plus modernes ont ainsi été rénovées, créant de nouvelles capacités d’accueil.
« Nous sommes très fiers de mettre à disposition des pays partenaires de la France les moyens d’accueil et de formation les plus modernes et les plus efficients, contribuant ainsi à véhiculer l’image d’excellence et de modernité de l’armée de l’Air. Nous accueillons trente stagiaires étrangers à la rentrée et nous anticipons une demande soutenue dans les années à venir », souligne Jean-Michel Palagos, Président-Directeur général de DCI.
Ce chantier est l’aboutissement d’un projet plus vaste qui vise à renforcer la capacité de formation au sein de l’Ecole de l’Air. Rénové en 2016, le bâtiment de formation accueille pour sa part dix salles de cours « Nouvelle Génération » et quatre laboratoires de langue. L’investissement dans un banc de simulation moteur et un simulateur drone vient compléter ce projet.
Le CIF-AA illustre parfaitement ce partenariat gagnant-gagnant et les synergies existantes entre DCI et l’armée de l’Air. « La mise à disposition de bâtiments inoccupés, sous couvert d’autorisation d’occupation temporaire, est porteuse de plusieurs vertus : ne pas peser sur les ressources de l’Ecole de l’Air ; revaloriser et maintenir en condition le patrimoine de l’Etat ; puis un retour à l’Etat d’infrastructures modernisées à l’issue de la période d’AOT », explique Jean-Michel Palagos.