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La compétivité internationale menacée par le faible niveau d’anglais dans les entreprises

Publication: Novembre 2012

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Le rapport EF EPIc fait également apparaître d’importantes différences entre les niveaux d’anglais des Salariés selon leur positionnement dans l’entreprise...
 

EF Education First a annoncé aujourd’hui les résultats de son enquête mondiale sur les compétences en anglais de la population active. Dans de nombreux pays, les travailleurs ont un niveau d’anglais inférieur à la moyenne nationale, une tendance inquiétante pour la compétitivité à l’échelle mondiale.

EF Education First (EF), premier organisme d’enseignement privé, a publié l’index de niveau de compétence en anglais des entreprises (EF EPIc), une enquête globale réalisée auprès de 115 000 Salariés et 1,7 million d’adultes à travers le monde. D’après les résultats, pas moins de deux tiers des 24 pays sondés, la population active dispose d’un niveau d’anglais inférieur à celui de la population adulte en général, avec des différences parfois considérables. Les écarts les plus importants s’observent au Danemark, en République tchèque, au Japon et en Russie.

Pourquoi les compétences en anglais des Salaries sont-elles plus faibles que celles de la population adulte en général ? Parmi les explications possibles, les adultes occupant un poste à temps plein ont souvent peu de disponibilités pour suivre une formation en dehors de leurs heures de travail. Autre raison plus préoccupante : les individus semblent s’accommoder de leur situation professionnelle et ne ressentent pas le besoin de développer leurs compétences. Ainsi, si leur entreprise ne prévoit pas de programmes de formation linguistique, bien souvent, ils ne prennent pas l’initiative d’améliorer leur anglais. À propos des conclusions de l’enquête, Andy Bailey, Directeur Marketing, EF Corporate Language Learning Solutions, a déclaré : « Il est clair que les dirigeants du monde entier peuvent s’inquiéter des résultats de l’EF EPIc, car les Salariés doivent aujourd’hui avoir de bonnes compétences en anglais, qui est sans conteste la langue internationale des affaires, pour garantir à l’entreprise un succès commercial international ». Il poursuit : « Compte tenu de la crise économique actuelle dans la plupart des régions du monde, et de la lutte acharnée pour les parts de marché à l’étranger, les chefs d’entreprise doivent aujourd’hui veiller à ce que leurs effectifs disposent des compétences nécessaires en langue et en communication pour conserver un avantage compétitif ».

Le rapport EF EPIc fait également apparaître d’importantes différences entre les niveaux d’anglais des Salariés selon leur positionnement dans l’entreprise. Dans de nombreux pays, les cadres moyens ont tendance à mieux parler anglais que leurs supérieurs hiérarchiques et leurs subordonnés. « Les écarts entre les compétences en anglais aux différents niveaux hiérarchiques peuvent avoir des conséquences désastreuses, en particulier dans les industries et organisations internationales basées sur la connaissance », indique Andy Bailey. « Sans de bonnes aptitudes à la communication en langue anglaise, il est pratiquement impossible de garantir un partage et un transfert de connaissances efficaces, que ce soit entre les divisions ou les niveaux hiérarchiques de l’organisation, et ces lacunes ont des retombées directes sur la compétitivité et la valeur de l’entreprise ».

Le rapport révèle aussi que le niveau d’anglais varie considérablement d’un secteur à l’autre. L’industrie du tourisme et du voyage et le secteur du conseil sont les meilleurs élèves, tandis que la vente au détail et le secteur public arrivent bon derniers. Cependant, dans l’industrie du tourisme et du voyage, à vocation purement internationale, on remarque que les Salariés ont un niveau seulement « intermédiaire ». Et tandis que la maîtrise de l’anglais ne paraît pas si indispensable dans le secteur public, la concurrence accrue avec le secteur privé, la nécessité de gagner en efficacité, le partage des meilleures pratiques à l’intérieur et à l’extérieur des frontières, et la volonté politique d’accroître la compétitivité économique, font désormais de l’anglais une exigence essentielle.

«  Le rapport EF EPIc a clairement démontré que les niveaux d’anglais au travail sont insuffisants », conclut Andy Bailey. «  Les chefs d’entreprise du monde entier doivent tout mettre en œuvre pour inverser la tendance, car si rien n’est fait, elle pourrait avoir de graves conséquences sur l’efficacité et la compétitivité des entreprises à l’échelle mondiale ».

http://www.ef.com/corporate

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