Épisode 6 : « Comment notre cerveau apprend le vocabulaire ? (Apport des informations multimodales dans l’acquisition du vocabulaire) » : Ces travaux s’inscrivent dans une démarche neuro-éducative. Ils s’intéressent à ce qui se passe dans le cerveau lorsqu’on apprend un nouveau vocabulaire dans sa langue natale. Ils comparent l’efficacité des différentes modalités d’apprentissage de vocabulaire en observant la performance des apprenants dans plusieurs types de tâches langagières. En complément, un examen IRM donne des informations sur les réponses cérébrales associées à chaque type d’apprentissage.
Ces travaux permettront peut-être de découvrir une méthode d’apprentissage adaptée à chaque individu.
Travaux exposés par Chotiga Pattamadilok, Directrice de recherche, Laboratoire Parole et Langage, CNRS
https://www.youtube.com/watch ?v=JX...
Les chercheurs analysent la synchronisation comportementale à l’aide de données géopositionnées pour mieux comprendre la synchronisation des déplacements (migrations d’ongulés sauvages, cartographie des territoires des animaux domestiques, contrôle des robots-tracteurs voire le guidage les voitures autonomes, etc.)
Travaux exposés par Florence Gaunet, Chargée de recherche au LPC, Aix-Marseille Université, CNRS ; Thierry Legou, Ingénieur de recherche au LPL, Aix-Marseille Université, CNRS ; et Angélique Lamontagne, Doctorante au LPC, Aix-Marseille Université, CNRS
https://www.youtube.com/watch ?v=U3...
Les travaux portent sur la connexion des perceptions du robot avec ses actions dialogiques afin qu’il tienne compte du contexte physique de la conversation. Un autre volet vise à doter les robots de décisions proactives pour anticiper les besoins de l’humain en analysant ses expressions faciales, gestes ou postures. Parmi les domaines d’application étudiés : soulager le personnel soignant dans sa gestion quotidienne de la salle d’attente d’un hôpital de jour.
Travaux exposés par Fabrice Lefèvre, Professeur, LIA, Avignon Université
https://www.youtube.com/watch ?v=Ci...
Ces travaux sur la physiologie de l’erreur démontrent, via l’analyse de l’activité électrique de certaines régions motrices du cerveau, que, dans le cadre d’erreurs d’actions, le cerveau est équipé de mécanismes d’anticipation, de détection, de rattrapage de ses erreurs avant même que celles-ci ne soient consommées. Ils montrent aussi que, lorsque la situation le permet, un individu les corrige très vite.
Travaux exposés par Franck Vidal, Enseignant-chercheur au LNC