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Louis-Philippe Reynaud, Directeur Général de la société Blanchon Syntilor, a pris ses fonctions le 17 juin 2013. Ancien élève de l’ITECH et administrateur de l’école depuis de nombreuses années, Louis-Philippe Reynaud est fortement impliqué. Il a suivi de près la stratégie mise en oeuvre ces dernières années par Jean Freidel (Président) et Jean-Pierre Gallet (Directeur Général jusqu’en 2011). ITECH, école d’ingénieurs de référence internationale En l’espace de deux décennies, les actions engagées ont transformé la petite structure de formation (issue de la fusion entre l’école Textile et l’ESCEPEA - Ecole Supérieure du Cuir et des Peintures, Encres, Adhésifs) en une école reconnue au niveau national et international. L’essor a été exponentiel puisque l’effectif total avoisine les 500 étudiants.

L’ITECH forme chaque année près de 140 ingénieurs dans les secteurs de la chimie des polymères, du cuir, de la chimie des peintures-encres-adhésifs, de la plasturgie, des matériaux textiles, des composites… Elle est unique dans sa spécialité en France et en Europe. Implantée depuis une dizaine d’années sur le Campus Lyon Ouest Ecully et à Roanne, l’ITECH s’est internationalisée tout en accroissant ses relations avec l’industrie à travers une filiale de recherche partenariale : le CEDEVE (CEntre de DEVeloppement des Entreprises). Cette structure s’appuie sur les compétences des enseignants chercheurs aussi bien dans le domaine de la formation continue, de l’assistance technique que du conseil. Pionnier dans la formation d’ingénieurs en alternance Innovante en matière de formation des ingénieurs par l’apprentissage, le projet de l’école a été agréé dès 1999 par la Commission des Titres d’Ingénieurs. Grâce à ces 14 années d’antériorité, l’ITECH possède une expertise confirmée s’agissant de formation d’ingénieurs en alternance, cursus qui connait aujourd’hui un fort succès. Les intentions du nouveau président s’inscrivent dans la continuité du travail accompli par Jean Freidel et Jean-Pierre Gallet à qui il rend hommage : « ils ont fait de l’ITECH une école unique en Europe, une école reconnue internationalement. Ils ont posé les fondations et créé les fondamentaux sans lesquels rien ne serait possible. Nous allons nous employer à cultiver ces fondamentaux ». Il tient aussi à saluer les compétences du corps professoral « qui dispense un enseignement de grande qualité mariant intelligemment approche conceptuelle et réalité du terrain ». L’ITECH en phase avec les industriels En relation avec Jérôme Marcilloux et la nouvelle direction mise en place en 2012.

Louis-Philippe Reynaud va poursuivre le travail accompli selon une même vision stratégique : « Dans une période où notre pays mise plus que jamais sur l’innovation industrielle pour relancer l’économie, l’ITECH suit au plus près les évolutions technologiques pour adapter les compétences des futurs professionnels aux besoins des entreprises. Au centre du triptyque Universités-grandes écoles/Recherche/Entreprises, l’ITECH met à profit sa parfaite connaissance du monde industriel pour faire évoluer ses programmes et former des ingénieurs opérationnels et porteurs de solutions concrètes et performantes ».

Relations étroites avec les fédérations Louis-Philippe Reynaud entretiendra les relations étroites établies avec les fédérations professionnelles impliquées dans le fonctionnement de l’école (la FIPEC, la Fédération Française de la Tannerie Mégisserie, l’UNion Inter-Entreprises TEXtiles Lyon et Région, la Fédération de la Plasturgie) : « Au coeur de l’actualité économique, technique et réglementaire de leurs secteurs, leur rôle est primordial pour faire évoluer le contenu des enseignements et renforcer les liens avec le monde professionnel ».

Le travail avec les fédérations sera également essentiel dans les projets d’ouverture de l’ITECH à l’international via notamment la promotion de l’enseignement à distance. Leur collaboration active avec les organisations européennes et mondiales contribuera à renforcer les échanges internationaux entre les élèves et les enseignants. Par exemple, l’école lyonnaise travaille actuellement avec la FIPEC sur un projet visant à accueillir et à former des étudiants issus de tous les pays d’Europe. Louis-Philippe Reynaud : un président pré-destiné Louis-Philippe Reynaud, Directeur Général de Blanchon Syntilor, est un familier de l’école puisqu’il en est diplômé (Promo 1977) et fait partie de ses administrateurs depuis près de dix ans. L’histoire de l’entreprise lyonnaise Blanchon présente de nombreuses similitudes avec celle de l’ITECH. Fondée en 1832 par André Blanchon afin de fabriquer des teintures et colorants pour la soierie lyonnaise, elle s’est ensuite diversifiée dans les produits de mégisserie (à partir de 1900), les apprêts textiles puis les peintures et vernis pour parquet. Comme l’ITECH, elle s’est fortement développée durant ces deux dernières décennies considérant la protection de l’environnement « comme un pré-requis ». Employant aujourd’hui près de 500 salariés, cette entreprise familiale exporte dans une quarantaine de pays et produit dans deux usines situées en Rhône-Alpes. Pour faire face à sa croissance, elle est en cours de construction d’un troisième site industriel à l’Isle d’Abeau. Durant toute sa carrière, au sein de Blanchon, Louis-Philippe Reynaud s’est fortement impliqué dans la vie de sa profession. Président de la chambre syndicale régionale des peintures et vernis (de 2004 à 2008), il a ensuite été Président Adjoint puis Vice-président (2011 et 2012) de la FIPEC*.

« La réussite professionnelle de Louis-Philippe Reynaud et son implication au sein de l’ITECH justifient la légitimité de son élection. Elle garantit la continuité des relations privilégiées établies entre nos deux institutions et la poursuite de projets communs. Depuis la création du Département Chimie des Formulations dans les années 60, la FIPEC, représentée au Conseil d’Administration, encourage un partenariat étroit. Pour nos adhérents dont Blanchon Syntilor, l’ITECH est un vivier de futurs collaborateurs qui pérennise nos compétences techniques et nos capacités d’innovation », Michel Dufour, Président de la FIPEC.