Industrie Mag - Le journal de l'industrie.
- accueil .
- newsletter .
Flux RSS . - soumissions .
- publicité .
- contacts
Flux RSS .
Une étude de l’ONU estime qu’en 2050, les 2/3 de la population mondiale vivront dans les villes. La population citadine actuelle n’en représente que la moitié. Et, avec plus de 80 millions de naissances par an, la population mondiale s’accroît rapidement, favorisant d’autant le boom immobilier. Les experts estiment aujourd’hui que ce secteur augmentera de 85 % d’ici à 2030. Ce phénomène génère une demande croissante de produits durables dans les secteurs de l’architecture et de la construction.
« La tendance pour les matériaux de construction durables découlent de plusieurs facteurs », explique Michael Enders, expert du secteur de la construction de la marque PLEXIGLAS®. « D’une part, les matériaux de construction durables doivent être moins souvent renouvelés ou échangés, ce qui réduit tout naturellement les coûts tout en protégeant l’environnement. D’autre part, nous construisons de plus en plus dans des régions où les éléments extérieurs sont d’avantage soumis aux rayonnements ultraviolets et aux intempéries. » « La lumière solaire et les intempéries comptent parmi les plus grands ennemis des matériaux plastiques », ajoute Michael Enders. C’est pourquoi les fenêtres et les éléments des façades des bâtiments en matériaux plastiques sont le plus souvent dotés d’une couche protectrice supplémentaire destinée à accroître leur durabilité.
Toutefois, les revêtements tels que les vernis et autres couvertures sont souvent très minces et peuvent facilement se rayer, s’écailler ou se fissurer. « Ils deviennent donc inesthétique en peu de temps », explique Michael Enders. « Au contraire, avec nos films multicouches en PLEXIGLAS® les éléments extérieurs des constructions restent intacts durablement. » Ils sont notamment utilisés comme revêtement des éléments de façades ou des profilés de fenêtres. « Le PLEXIGLAS® est un matériau inégalé en matière de résistance aux intempéries et ses composants sont alliés à des absorbeurs d’ultraviolets, ce qui les rend extrêmement résistants aux UV », souligne Michael Enders. « C’est ce qui fait du PLEXIGLAS® le matériau idéal pour toutes les façades grandement exposées aux UV. » De plus, ce matériau est également insensible à l’humidité comme aux températures extrêmes.
Les films en PLEXIGLAS® sont les boucliers des matériaux qu’ils recouvrent. Par exemple, un simple film en polyméthacrylate de méthyle (PMMA) - nom chimique du PLEXIGLAS® - suffit à protéger les profilés des fenêtres en PVC et les façades contre le vent, les rayonnements ultraviolets et les agressions chimiques. Les éléments de façades en panneaux stratifiés en fibre de verre peuvent ainsi, par exemple, être recouverts d’un film protecteur en PLEXIGLAS®. Grâce à lui, la résine thermodurcissable et la fibre de verre sont protégées, ce qui permet aux panneaux de garder un aspect optique esthétique et brillant durablement. On utilise également des films en PLEXIGLAS® pour protéger les panneaux stratifiés qui sont notamment utilisés pour réaliser, à postériori, l’isolation l’extérieure des maisons.
« Les possibilités d’utilisation de nos films en PLEXIGLAS® sont déjà multiples », souligne Michael Enders, « et, ils pourront être employés à l’avenir pour de nouvelles applications. » En effet, en automne 2018, le secteur d’activité Acrylic Products qui réalise ces films spécifiques a ouvert un nouveau site de production dédié aux films multicouches. « Ce nouveau site nous permet de réaliser des films particulièrement larges avec un nombre de couches jusqu’alors impossible. Avec ces nouveaux films multicouches, nous allongeons la durée de vie des éléments extérieurs des bâtiments de plusieurs décennies », explique Michael Enders. Une des particularités de notre nouvelle installation est d’offrir de toutes nouvelles possibilités en matière de traitement et de design des façades : « En effet, nous pouvons y produire des plaques encore plus grandes, ce qui permet tout naturellement de travailler des éléments de façades d’autant plus grands », ajoute Michael Enders. Les façades des bâtiments peuvent ainsi être réalisées avec le moins d’éléments possibles - ce qui leur confère une apparence plus homogène qui reste esthétique durablement.
