DisaSolar annonce sa qualification « entreprise innovante » par Oséo. Cette dernière permet l’ouverture aux FCPI (Fonds communs de placement dans l’innovation) qui ont pour obligation d’investir au moins 60% de leur actif dans des PME qui satisfont à des critères d’éligibilité et sont innovantes. Elle permet également de bénéficier de la mesure de l’article 26 de la Loi de Modernisation de l’Economie du 4 août 2008 qui vise à favoriser l’accès des PME aux marchés publics de haute technologie, de R&D et d’études technologiques.
La PME française fédère autour d’elle de nombreux laboratoires de recherche français, européens et internationaux. Le CEA/INES, le CNRS/XLIM, laboratoires publics de recherche français, le Holst Centre, aux Pays-Bas, et la Queens University au Canada comptent ainsi parmi les acteurs de sa R&D.
Stéphane Poughon, président de DisaSolar : « DisaSolar est engagée depuis 2009 dans un ambitieux programme de recherche pour mettre au point le process industriel de fabrication du photovoltaïque organique par impression jet d’encre. En parallèle, nous continuons une activité de photovoltaïque de 2e génération, avec des panneaux souples et sur mesure, qui connaît déjà des succès industriels dans des domaines tels que les transports, le mobilier urbain, l’armement ou encore des applications dites mobiles ».