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Actualité des entreprises

Kaspersky en bref : 1er trimestre 2021

Publication: Avril 2021

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Kaspersky vous partage le résumé de ses actualités des trois derniers mois...
 

Côté BtoB : Nominations : « Bertrand Trastour devient Directeur Général de Kaspersky France, Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale », 11 janvier 2021, Pour répondre à des enjeux business majeurs sur ce marché, Kaspersky a annoncé la réorganisation de son pôle de direction en Europe, avec la création de 3 régions distinctes : Europe du Sud, Europe du Nord et Europe Centrale. Dans ce cadre, Bertrand Trastour, jusqu’à présent Directeur Commercial, a été nommé Directeur Général de Kaspersky France, Afrique du Nord, de l’Ouest et du Centre, en remplacement de Tanguy de Coatpont, qui a quant à lui été nommé Directeur Général Europe du Sud. Cécile Feroldi, qui occupait le poste de Directeur Marketing France et Afrique du Nord, de l’Ouest et du Centre a été nommée Directrice Marketing Europe du Sud. Enfin, l’équipe de chercheurs de Kaspersky (le GReAT) s’est renforcée avec l’arrivée d’un nouveau chercheur français, Paul Rascagnères.

Etudes : « Les équipes de sécurité informatique consacrent chaque semaine 6 heures de leur temps professionnel à des loisirs, notamment numériques », 11 mars 2021, Le quatrième volet du rapport Kaspersky IT Security Economics, spécifiquement dédié à la pratique quotidienne des métiers de la sécurité informatique, révèle que 85 % des équipes de sécurité informatique à travers le monde s’adonnent à des loisirs pendant leurs heures de travail (78 % en Europe). Et que ce temps de loisirs représente 6 heures par semaine (5 heures en Europe), soit une heure de plus que l’ensemble du personnel dans les entreprises. Parmi les raisons évoquées, se distraire face à une charge de travail élevée une explication également citée comme la raison la plus courante de quitter un emploi dans le domaine de la cybersécurité.

« La moitié des entreprises interdisent le partage d’information sur les cybermenaces », 26 mars 2021, Selon les conclusions d’un rapport de Kaspersky intitulé Managing Your IT Security Team, si deux tiers (66 %) des analystes de Threat Intelligence sont impliqués dans des communautés professionnelles de partage d’information, 52 % des professionnels de l’informatique et de la cybersécurité ne sont pourtant pas autorisés par leurs organisations à partager en externe des informations sur les cybermenaces – même à ces communautés. Des restrictions qui peuvent être motivées par la crainte que si certaines informations sont publiées avant d’avoir pu y répondre, les cybercriminels réalisent qu’ils ont été détectés et changent de tactique.

Etude : « Un employé sur trois pense à changer d’activité », annoncée le 03 mars 2021, Malgré la pandémie de Covid-19 et les incertitudes qu’elle fait peser, le rapport Securing the Future of Work de Kaspersky révèle que la crise n’a pas entamé l’ambition professionnelle des employés. En effet, 35 % des employés envisagent de changer d’emploi au cours des 12 prochains mois. Avec, parmi les deux principaux motifs invoqués pour justifier ce changement de carrière, l’aspiration à recevoir un salaire plus élevé (pour 49 % des interrogés) et le souhait de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée (pour 41 % d’entre eux).

Nouveauté produit

« Kaspersky lance l’offre MDR pilotée par Machine-Learning, pour adresser les PME », 16 mars 2021, Kaspersky a annoncé le lancement d’une nouvelle offre de services outsourcés de détection et de réponse ou MDR (Managed Detection and Response), assurant une protection 24h/24 et 7j/7. Cette nouvelle version de Kaspersky MDR, basée sur un fonctionnement de Machine-Learning, permet aux équipes de sécurité informatique de se concentrer sur l’analyse et la gestion des menaces Grâce à deux niveaux d’offres, Kaspersky MDR est désormais disponible aussi pour les PME, dont les niveaux de maturité et de besoins en sécurité informatique diffèrent. Parallèlement, Kaspersky a mis à jour son approche produits en mettant à disposition de nouveaux environnements (frameworks) de cybersécurité, pour permettre une protection contre tous types de menaces.

Attaques

« APT : Le groupe Lazarus se tourne à présent vers l’industrie de la défense », 04 mars 2021, Actif depuis au moins 2009, Lazarus est un acteur APT très prolifique, lié à un certain nombre de campagnes, notamment à l’encontre du marché des crypto-monnaies. Les chercheurs de Kaspersky ont identifié une nouvelle campagne menée par Lazarus : depuis le début de l’année 2020, le groupe cible l’industrie de la défense, via l’utilisation d’une porte dérobée appelée « ThreatNeedle ». ThreatNeedle recueille les informations sensibles de l’entreprise qu’elle infecte grâce à sa capacité à se déplacer à travers des réseaux distincts d’entreprise, malgré leur segmentation.

Côté grand public :

Décryptage des comportements

« 90 % des appareils d’occasion contiennent des données de l’ancien propriétaire », 12 février 2021, C’est en analysant près de deux cents appareils d’occasion, dans le but de comprendre comment les utilisateurs suppriment leurs données avant de mettre en vente leur appareil, que les chercheurs de Kaspersky ont fait le constat alarmant que plus de 90 % des appareils achetés contenaient des données des anciens propriétaires. Chaque fois qu’un appareil est vendu d’occasion, les données initialement stockées restent dans la majorité des cas accessibles, soit directement (16 % des cas en moyenne), soit en recoupant des fichiers (74 % des cas en moyenne). Afin d’éviter que ces données ne tombent entre des mains malveillantes, Kaspersky partage ses conseils pour supprimer efficacement ses données personnelles.

« Stalkerwares : Kaspersky recense plus de 53 000 utilisateurs mobiles affectés en 2020 », 26 février 2021, Kaspersky a dévoilé les résultats de son rapport 2020 sur les stalkerwares, réalisé auprès des utilisateurs de ses solutions de protection. Vendus légalement mais utilisés illégalement, les stalkerwares sont des logiciels permettant d’espionner les activités numériques d’une personne à son insu. Notamment utilisés dans des contextes de violence domestique, ils présentent un problème réel, avec 53 870 utilisateurs mobiles affectés dans le monde en 2020. La France n’est pas épargnée par le phénomène, puisqu’elle se positionne à la 11ème position du classement mondial, et à la 4ème place du classement européen des pays les plus touchés.

« Près d’un utilisateur sur quatre autorise automatiquement ses applications à accéder à son micro ou à sa webcam », 25 mars 2021, Selon une étude mondiale menée par Kaspersky auprès de 15 000 consommateurs, près d’un quart (23 %) des utilisateurs connectés autorisent systématiquement les applications et les services à accéder à leur micro ou à leur caméra. Toutefois, les efforts de sensibilisation aux enjeux de cybersécurité menés auprès du grand public portent leurs fruits, puisque 59 % des interrogés craignent d’être observés à leur insu par le biais de leur webcam, et 60 % d’entre eux redoutent la présence d’un logiciel malveillant. Des résultats qui laissent supposer que de plus en plus de personnes assurent proactivement la protection de leurs appareils numériques, dans un contexte où le travail à distance et les applications de collaboration deviennent la norme.

Evolutions sociétales

« Parité dans la Tech : 56 % des professionnelles du secteur technologique observent une amélioration depuis 2018 », 02 février 2021, Une enquête de 2018 de Kaspersky sur la représentation des genres dans le secteur de la cybersécurité indiquait que les femmes ne représentaient que 11 % des effectifs mondiaux des métiers de l’IT et de la Tech. Un chiffre qui s’expliquait à l’époque par le manque d’attrait des jeunes filles pour ce secteur. Aujourd’hui, d’après deux nouvelles études menées par Kaspersky en novembre et décembre 2020, la représentation des femmes dans les métiers de l’IT et de la Tech progresse. S’il existe toujours une prédominance masculine dans ces secteurs, 56 % des femmes y travaillant ont pu observer une amélioration significative de la diversité des genres depuis 2018 et 70 % estiment que le genre est devenu moins préoccupant lors de la candidature à un poste, en faveur de leurs compétences et leurs expériences.

« Plus de parité en entreprise : les rôles modèles sont-ils la clé ? », 05 mars 2021, L’étude Women in Tech de décembre 2020 menée par Kaspersky auprès de 13 000 hommes et femmes travaillant dans le secteur de l’IT révèle une amélioration globale de la perception concernant la représentativité des genres, qui commence à son tour à entraîner des changements positifs. Le nombre croissant de rôles modèles encourage en effet les jeunes générations à dépasser les stéréotypes, et 27,6 % des jeunes femmes de 18 à 24 ans exerçant dans le secteur Tech revendiquent déjà cette inspiration (contre 14 % toutes générations confondues).

« Demain, tous cyborgs ? 42 % des Français prêts à être en couple avec un humain augmenté », 18 mars 2021, Une étude Kaspersky menée auprès de 6 500 adultes dans sept pays européens a notamment sondé les Français sur l’augmentation humaine afin de connaître leur perception du monde des « cyborgs ». L’étude met notamment en lumière un manque de compréhension de l’augmentation humaine, lequel pourrait freiner le développement de ces technologies. Si près de la moitié (47 %) des Français pensent que l’augmentation, l’implant d’éléments technologiques dans le corps humain, doit être possible et rester accessible à ceux qui le souhaitent, beaucoup s’inquiètent toutefois de l’impact sociétal à long terme de ces technologies.

Focus Covid

Moderna, Pfizer, AstraZeneca : des doses de vaccins contre la Covid-19 en vente sur le Darknet au prix moyen de 420 euros », 08 mars 2021, Alors que le monde entier effectue l’une des campagnes de vaccination les plus vastes et les plus complexes de l’histoire, les arnaqueurs et autres revendeurs illégaux sont décidés à tirer profit de cette opportunité. Après enquête menée sur 15 marketplaces du Darknet, les chercheurs de Kaspersky ont trouvé des offres de trois grands vaccins contre la Covid-19 : celui de Pfizer/BioNTech, celui du laboratoire AstraZeneca ainsi que celui de Moderna. Des annonces pour des vaccins « contre la Covid-19 » non vérifiés ont également pu être identifiées. La majorité des vendeurs identifiés étaient originaires de France, d’Allemagne, du Royaume-Uni et des États-Unis, et les prix par dose constatés variaient d’environ 170 à 1 010 euros, pour une moyenne d’environ 420 euros. Les communications entre vendeurs et acheteurs ainsi que la promotion de ces offres se font par le biais d’applications de messagerie cryptée, tandis que les paiements sont demandés sous la forme de cryptomonnaies, principalement des bitcoins.

https://www.kaspersky.fr/

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