Zoom présente aujourd’hui les résultats d’une étude sur l’impact économique du télétravail et des solutions de communication vidéo pendant la pandémie du Covid-19. Cette étude internationale estime ainsi qu’en France, le recours au travail à distance a permis de sauver 250 000 emplois et d’éviter une chute du PIB de 86 milliards de dollars. 82 % des personnes interrogées dans l’Hexagone considèrent en outre que les solutions de visioconférence resteront essentielles pour leurs activités.
L’étude réalisée pour Zoom par le Boston Consulting Group indique ainsi qu’en 2020, le nombre d’employés travaillant à distance dans les entreprises interrogées à travers le monde a été multiplié par 2,5 à 3 ce qui a entraîné une multiplication par 2,4 à 2,7 du nombre d’employés utilisant des solutions de vidéoconférence. Le temps total consacré aux solutions de vidéoconférence a été quant à lui multiplié par un facteur 3 à 5 dans les entreprises interrogées. En France, la part d’employés ayant recours aux solutions de visioconférence est passée de 20 % en 2019 à 60 % en 2020 dans les PME et ETI et de 20 % à presque 70 % dans les grandes entreprises.
L’autre tendance importante soulevée par l’étude de Zoom est que le télétravail va perdurer après la pandémie partout dans le monde. Ainsi, après la pandémie, les résultats de l’étude montrent que les entreprises françaises s’attendent à ce que 42 % des employés resteront en télétravail et que 51 % vont continuer à avoir recours aux solutions de visioconférence dans le cadre de leur travail. L’enquête montre également que la perception du télétravail a largement évolué avec 70 % des managers interrogés se déclarant plus ouverts aux modèles de travail à distance flexibles qu’ils ne l’étaient avant la pandémie.
« Alors que les pays du monde entier étaient aux prises avec des blocages, les gens ont rapidement adopté le travail à distance et les solutions de vidéoconférence. Grâce à la mise en œuvre rapide et efficace du travail à distance, les entreprises de ces pays ont pu économiser de l’argent et sauver des emplois qui auraient pu être perdus à cause de la pandémie », explique Brendan Ittelson, Chief Technology Officer de Zoom. « 70 % des managers interrogés se déclarent en outre plus ouverts aux modèles de travail à distance flexibles, qu’ils ne l’étaient avant la pandémie. Les modèles de travail hybrides sont là pour rester et les entreprises s’attendent à ce que plus d’un tiers des employés travaillent à distance après la pandémie ».
Concernant l’impact du télétravail et de la visioconférence sur divers secteurs, l’enquête de Zoom a révélé diverses tendances :
Santé : 67 % des entreprises interrogées sont d’accord avec l’affirmation suivante : "Mon entreprise envisage un modèle de travail à distance flexible en raison du succès de la collaboration à distance grâce aux solutions de vidéoconférence."
Éducation : Multiplication par 3,5 de l’utilisation des solutions de visioconférence pendant la pandémie dans les entreprises interrogées.
Technologie : 84 % des entreprises interrogées s’accordent à dire que "les solutions de visioconférence resteront essentielles pour les opérations commerciales au-delà de la pandémie."
Services professionnels : Le travail à distance a été multiplié par 2,7 pendant la pandémie dans les entreprises interrogées.
L’étude sur l’impact du télétravail et de la vidéo communication pendant la pandémie du COVID-19 a été réalisée à la demande de Zoom par le cabinet Boston Consulting Group. Au total, 5 820 personnes réparties dans 6 pays ont participé à cette étude, dont 1 320 aux États-Unis, 921 au Royaume-Uni, 954 en Allemagne, 824 en France, 808 au Japon et 993 en Inde. L’analyse économique était basée sur les données publiques du PIB et de l’emploi propre à chaque pays.