En 2019, l’économie réelle séduit de plus en plus : L’objectif de Tudigo est d’aider au financement des entreprises ayant un fort impact sur leur territoire. De la dernière boulangerie d’un village à la construction d’une centrale photovoltaïque, en passant par une brasserie artisanale locale, Tudigo fédère des acteurs autour de projets qui dynamisent leur ville, département ou région.
L’année 2019 a été particulièrement marquante puisque plus de 15 millions d’euros ont été récoltés en don contre don ou en investissement (obligations ou actions). « Avec plus de 400 projets financés et une communauté de 140 000 personnes, nous avons plus que jamais conscience de l’importance d’agir localement pour tous types de projets. », indique Stéphane Vromman, co-fondateur de Tudigo. « Depuis la création de Tudigo en 2012, nous avons accompagné plus de 1 700 projets et collecté près de 25 millions dont 15 millions rien que cette année. ».
La plateforme Tudigo Énergie, créée à l’été 2018 et dédiée aux énergies renouvelables, poursuit sur sa belle lancée avec 8 projets financés et 3 millions d’euros récoltés. « Du solaire à l’éolien, les énergies vertes représentent des placements intéressants avec une rémunération annuelle brute entre 4% et 8%. Les entreprises sélectionnées disposent d’une garantie d’achat de l’électricité produite par les grands groupes. », explique Stéphane Vromman.
Cette année s’annonce donc plus que prometteuse. Tudigo affiche un objectif de levée fixée à 25 millions d’euros pour les projets de la plateforme et 5 millions d’euros pour Tudigo Énergie. Avec le lancement de 2 nouvelles offres à destination des chefs d’entreprise en recherche de fonds et des innovations pour faciliter l’expérience des investisseurs sur Tudigo : un portail intuitif, une gestion post-investissement simplifiée, des avantages spécifiques, … « Nous avons de grandes ambitions pour 2020, comme des nouveaux outils pour convaincre les investisseurs, mais aussi la mise en place de plateformes à l’image de Tudigo Énergie pour des projets et des profils spécifiques. », conclut Stéphane Vromman.