Ce document -qui engage État, organisations professionnelles et centres techniques industriels (CTI)- fixe l’ambition assignée aux deux Centres Techniques.
Comme l’ont indiqué Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, il s’agit de définir un cadre de travail renouvelé avec :
Un renforcement des indicateurs d’impact sur le tissu de PME ;
La réaffirmation des priorités stratégiques autour de l’innovation, de la transformation des PME vers l’industrie du futur et de la transition écologique ;
La poursuite du décloisonnement entre CTI et en particulier l’approfondissement des pistes de rapprochement là où elles permettent d’offrir un meilleur service aux entreprises bénéficiaires ou de réaliser des économies significatives.
Pour Cetim et CTIF, il s’agit notamment d’opérer la migration du secteur mécanicien, d’une part, de la fonderie, d’autre part vers le numérique ainsi que vers les procédés et matériaux innovants en particulier pour relever les défis du prolongement de la durée de vie des produits, des économies d’énergie et d’émission carbone. Il s’agit également d’appuyer le développement des énergies renouvelables et d’accompagner les développements liés à l’e-mobilité.