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Dossiers

Les salariés de l’industrie inquiets des faibles investissements technologiques

Publication: Septembre 2017

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C’est le constat qui ressort de l’étude de Ricoh Europe réalisée au cours de l’été 2017 avec le soutien de Censuswide, auprès de 3669 employés répartis dans 23 pays, dont 629 salariés issus du secteur de l’industrie...
 

Dans ce secteur, les salariés sont les plus enthousiastes quant à l’introduction de nouvelles technologies dans leur milieu de travail. 76% des travailleurs interrogés estiment que la technologie automatisée leur permettra d’être plus productifs. Mais surtout ils sont 80% à estimer que la robotisation aura un impact positif sur leur travail, avec 42% sachant parfaitement de quelle façon. Aujourd’hui ce sont principalement l’e-mail (44%) et les réunions (42%) qui leur font perdre le plus de temps. Pourtant, 49% des travailleurs interrogés estiment qu’ils pourraient gagner entre 1 à 2 heures par jour si leur entreprise avait intégré les bonnes technologies.

Javier Diez-Aguirre, VP Marketing de Ricoh Europe, commente : « Ce que nous disent les employés reflète les préoccupations, en matière de productivité au niveau macroéconomique, des gouvernants dans le monde entier. Une trop grande part de la journée de travail est mobilisée par des tâches et des processus qui pourraient être automatisés ou optimisés. En leur permettant de récupérer ce temps perdu, les nouvelles technologies aident les employés à travailler de manière plus intelligente et à se concentrer sur la valeur ajoutée pour leur entreprise. »

Or, dans un même temps, ils sont aussi inquiets puisque 41% des salariés du secteur de l’industrie pensent que leur entreprise est vouée à l’échec dans les 5 ans si des investissements technologiques ne sont pas réalisés dans leur environnement de travail quotidien. 35% pensent que l’arrivée de ces nouvelles technologies est freinée par le manque de compétences internes et 80% des répondants pensent que leur direction n’adoptera de nouvelles technologies que si elles contribuent à réduire les coûts, plutôt que pour leur faciliter la tâche.

Javier Diez-Aguirre ajoute : « Les décideurs dans les entreprises doivent avoir une vision globale, sur le long terme, des coûts de leurs processus stratégiques. Si une réduction des investissements peut certes représenter des économies à court terme, les gains de productivité sont appelés par contre à largement porter leurs fruits dans les années à venir. »

http://www.ricoh.fr/

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