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Dossiers

IESF présente son Cahier sur le Plan de Continuité d’Activité

Publication: Janvier 2017

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Pourquoi et comment élaborer un plan de continuité d’activité ? Vade-Mecum pour aider les entreprises à limiter les conséquences d’un sinistre...
 

IESF présente son cahier sur le Plan de Continuité d’activité, établi par le Comité Maîtrise des Risques Opérationnels d’Ingénieurs et Scientifiques de France, sous l’animation Pascal GAVID, Président de ce comité.

Le cahier décrit les avantages d’un Plan de continuité d’activité (PCA) et les étapes à suivre pour le mettre en place. Il est destiné aux dirigeants d’entreprises et surtout à ceux des PME-PMI. Il détaille l’importance d’un PCA, analyse son coût en regard de ses avantages, décrit ce qu’il doit contenir et donne des conseils de réalisation. Enfin il détaille deux exemples concrets : le PCA d’un imprimeur de presse, et le redémarrage après sinistre d’un site de production d’une entreprise leader dans la fabrication de produits alimentaires grand public qui a subi un incendie criminel. Ce document aide les entreprises à limiter les conséquences d’un sinistre en anticipant les décisions à prendre et les actions à mettre en place en cas de sinistre majeur.

En effet, une interruption d’activité, même de quelques jours, peut avoir pour elles de lourdes conséquences, qui peuvent aller jusqu’à la cessation définitive. « Celles-ci ne sont pas que d’ordre financier (pertes de recettes ...). En effet, elles peuvent se traduire par une perte de confiance des clients et la mise à profit par la concurrence, une image de marque écornée… », précise IESF.

C’est pourquoi l’entreprise doit se préparer à affronter ces risques. Ils peuvent être de tous ordres : incendie, inondations, malveillance, catastrophe naturelle…. Le système d’information n’y échappe pas et doit être pris en compte dans un PCA. Certes, ce dernier repreìsente des cou ?ts directs et indirects, mais en contrepartie, « Il peut e ?tre un atout commercial vis-aÌ-vis de certains donneurs d’ordres. En outre, l’assureur peut prendre en compte l’existence d’un PCA pour améliorer certaines clauses particulières », souligne l’IESF.

Dans l’élaboration d’un PCA, l’implication de la direction générale est nécessaire.. La première étape consiste à définir les objectifs du PCA : produits essentiels aÌ maintenir sur le marchéì, délai limite de reprise d’activitéì, contraintes réglementaires et contractuelles aÌ respecter, etc. Pour cela, il est nécessaire de connaître le fonctionnement de l’entreprise, ses tenants et ses aboutissants, ses moyens humains, techniques, financiers, documentaires, juridiques, etc. Cependant, il n’est pas obligatoire d’imaginer toutes les situations possibles et le PCA peut être limiteì aÌ quelques scenarii majeurs et essentiels.

L’une des phases clé d’un PCA, souvent négligée, réside dans sa validation, car « un PCA non testé n’a aucune valeur », souligne l’IESF. Il est donc essentiel de réaliser des tests et exercices, sans mettre en danger l’entreprise. Il est également indispensable de le tenir régulièrement à jour, car l’entreprise évolue sans cesse.

Cependant, dans une certaine mesure, « un PCA doit être considéréì comme confidentiel (et même stratégique pour les opérateurs d’importance vitale), car il dévoile les points forts et faibles de l’entreprise, ainsi, éventuellement, que sa stratégie », met en garde l’IESF. Bien sûr, il est nécessaire qu’il soit connu en interne comme en externe pour mettre en avant les atouts du PCA, mais les détails de sa mise œuvre doivent garder un aspect confidentiel.

http://home.iesf.fr/

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